Pour la deuxième fois en six mois, un leader du Front populaire tunisien est assassiné à Tunis, faisant ainsi régner la terreur et fragilisant la démocratie.
Le crime fait suite aux nombreuses répressions dont sont victimes les militantes et militants des forces démocratiques et de progrès, les syndicalistes, de nombreux citoyens dont de nombreuses femmes en lutte pour leurs droits.
En ce jour de grève générale, la CGT réaffirme tout son soutien, sa solidarité avec le peuple tunisien, aux camarades de l’UGTT qui combattent pour leurs revendications tant sociales que démocratiques.
Montreuil, le 26 juillet 2013