| Incident du 21 octobre 2011 sur la ligne 23
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L’incident survenu au terminus de la ligne 23 ce 21 octobre 2011 attise [à nouveau] les envies de polémiques et les tentatives – perverses – de règlement de compte(s) chez un APPRENTI SORCIER qui s’évertue à instaurer un climat délétère.
La CGT REFUSE de se laisser influencer par cet AGITATEUR qui a la volonté d’ajouter à la [compréhensible] perturbation de notre collègue une peur insidieuse de ‘‘vengeance’’ partisane.
La gravité de cet incident ; son caractère exceptionnel et le RESPECT naturellement dû à notre collègue NOUS imposent de la retenue dans NOS actes et NOS déclarations.
Les TRAMINOTS méritent des représentants qui les PROTEGENT de manipulations HASARDEUSES (gardons à l’esprit les conseils ‘‘éclairés’’ envers certains collègues à présent déboutés dans leurs procédures judiciaires).
Comme à son habitude, la CGT veille à ce que la Direction respecte les procédures et dispositifs prévus en la matière dans la SERENITE.
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Dans le passé, des incidents comparables se sont déjà produits.
La CGT avait obtenu – dans tous ces cas – la limitation de la sanction à une mise à pied de 15 jours (et souvent la réduction ultérieure de la sanction).
Au vu de ces précédents et au vu des circonstances telles que dévoilées lors du CHSCT extraordinaire de ce 9 novembre 2011, la CGT NE VALIDERA PAS une éventuelle sanction qui serait supérieure à une mise à pied de 15 jours.
Concrètement, la CGT propose à FO et CFDT une défense COMMUNE de notre collègue.
Les TRAMINOTS ne peuvent tolérer qu’un AGITATEUR dénué de toute morale tente par TOUS les moyens [pouvant aller jusqu’à l’incitation à l’automutilation comme récemment chez RCA] de les DIVISER dans le SEUL but de satisfaire des bas instincts existentiels.
Ceci étant posé, les circonstances de cet incident nous rappellent la nécessité de PRATIQUER les procédures relatives à l’arrêt et au stationnement des bus…
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